C&H 125 version papier - Juin 2018
Journal C&H 125, (envoi postal), 40 pages.
délai de livraison : entre 3 et 5 jours ouvrés
Édito Par PPP* (Petite Plume Psaltériste, pour vous servir)... (Sr Marie Véronique)
À nouvelle présidente et nouveau conseil d’administration, nouvel édito (et on chante alors un chant nouveau dirait saint Augustin). Normal.
Le jeu sera, pour ce numéro, de retrouver l’ordre des différentes contributions suggérées dans ces lignes (réponse dans le sommaire du journal).
Pour assouvir au plus tôt la curiosité des curieux : des liens sont proposés pour visiter deux Communautés monastiques « comme si vous y étiez ». Pourquoi ces deux communautés ? Réponse dans le prochain C&H, mais normalement, si le lecteur a bien suivi les précédents C&H, et s’il regarde attentivement ces deux vidéos, il devrait pouvoir répondre…Christine de la Forest nous relate avec précision, émotion et conviction une belle expérience de … Ah ! je vous laisse découvrir. Juste une mise en bouche avec ce trait de génie biblique en fin de parcours : « La musique de la cithare vibre dans le monde sans être du monde ».
C’est comme les citharistes n’est-ce pas ! Oui, nous sommes bien dans le monde avec ses vicissitudes (nous tairons celles que nous causent la nouvelle loi sur la protection des données), mais aussi avec ses joies, plus ou moins austères : dans la
catégorie joie avec austérité niveau 0 = que du bonheur, nous avons sur le podium d’honneur, Sylvie Lacroix qui nous offre un magnifique dessin d’iris (hum, avec la nouvelle loi sur la protection des données, ai-je le droit de faire de la pub ?) et un poème.
L’assemblée générale à elle seule génère un petit paquet de feuilles : tout d’abord, joie avec austérité niveau 0,1– la place sur le podium d’honneur étant déjà occupée – j’ai nommé : la surprise du chef (dans tous les sens du terme) ; puis le compte rendu de l’assemblée générale (austérité niveau 0,2), le rapport moral de l’assemblée (austérité niveau 2) et enfin le rapport financier d’austérité niveau 9,5 (sur une échelle de 10). Et, pour rester dans ce domaine, l’adage selon lequel on peut vivre d’amour et d’eau fraîche n’étant pas réaliste, pour vivre, nous devons accepter cette part d’austérité et, de temps en temps, donner un coup de pouce…aux dons. C’est ce que Nathalie, notre trésorière, a essayé de balbutier.
Ceci étant dit et bientôt fait, du moins nous l’espérons (merci !), reste notre « Dessert du cithariste » avec deux partitions de Maguy Gérentet, la première sur une mélodie de Théodore Botrel, la seconde sur un choral de Bach (« Soyez dans la joie, parce que… », chacun pourra en jouant ce morceau compléter le « parce que ») ; chaque partition est écrite de deux manières différentes selon les préférences de chacun, (c’est comme la glace au chocolat avec ou sans chantilly) ; elles sont d’abord présentées par leur auteur, et quand on a lu ces lignes et que l’on a joué celle de Bach, il y a un goût de reviens-y qui reste dans la bouche, je veux dire dans le cœur ; bonne nouvelle, c’est tout un recueil que Maguy nous propose alors.
Cette présentation est suivie d’une deuxième présentation pour la deuxième écriture présentée par deux autres présentatrices que vous connaissez déjà, Éliane et AnneMarie. Vous me suivez ? Non ? Ce n’est pas grave, une fois arrivé sur la page, vous direz : mais c’est bien sûr ! Voilà, c’est juste pour être sûre que vous lirez tout attentivement.
En trois mois, ça doit pouvoir le faire. D’autant que pour ne pas vous surcharger en cette période qui sent – de loin – les vacances, nous continuerons d’explorer le psautier et la cithare dans la Bible avec Odile Berthie seulement dans le prochain numéro. Donc rendez-vous au mois de septembre pour des nouvelles énergisantes en vue de la rentrée (austérité niveau… on n’ose pas dire).
En attendant, après le dessert, il est juste et bon de conclure par le café… liégeois et les nouvelles sympathiques de nos fidèles amis belges données par Guy Jadin.
Merci à tous les contribuants d’avoir contribuer par leurs contributions majeures, mineures et modales à ce numéro 125 de C&H !