De la lyre, à la cithare, au psaltérion :
toujours ce même charme
Danièle Lorho - C&H 129
Lors de notre rencontre a Lumigny le 10 novembre pour jouer toutes ensemble de la cithare, j’avais été heureuse de découvrir la benjamine Elise de notre groupe d’Ile de France, étudiante en pharmacie à ce jour. Elle nous a raconté avoir découvert la cithare toute jeune lors d’une colonie de vacances « musicale » où ses parents l’avaient envoyée pour choisir l’instrument dont elle voudrait jouer. Une fois de retour chez elle, elle n’a pas changé d’avis : elle jouerait de la cithare.
Ayant eu pour ma part (mais pas au même âge) cette même attirance dès que j’ai vu et entendu une cithare tyrolienne, au retour de cette journée de travail sur psaltérion, je me suis mise sur internet pour l’histoire de cet instrument.
On constate encore que cet instrument est méconnu mais attire et envoûte toujours autant dès qu’il a été découvert. Et cela est vrai depuis longtemps comme le raconte la mythologie grecque :